Le soleil vient de se lever et le
Chemin serpente dans la forêt.
De la nuit, la rosée s’évapore.
La mésange lisse ses ailes, la
Vie est présente, frêle, fragile.
Passe dans un éclair une biche,
Prés d’une cabane abandonnée.
De loin, le matin s’effiloche sur
L’étang des souvenirs oubliés.
Du frémissement matinal, mon
Cœur qui chante m’assure
Qu’il est toujours là !
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