Sur les branches épineuses de
L’arbre, le soleil pose ses rayons
De miel, chauds et embaumés.
Mon cœur demande alors à mon
Âme, veux-tu que naisse pour toi
Un beau, un tendre bourgeon, un
Bourgeon qui ne demande qu’à fleurir ?
Vient me rejoindre, je palpite très fort
De bonheur : demain matin, tu verras
Fleurir une belle fleur parfumée.
Alors, toi qui lis ce poème,
Cueille doucement cette rose !
Elle est pour toi.
↑ Haut