À toi, notre fils

Avant, ce fut l’orage de la guerre,
Ravageant la terre et les corps.

Même les animaux payaient le tribu,
Immolés dans ce triste décor.

Soudain, voici le silence
Tombant sur le pays meurtri.

Implorante, la mère a tant pleuré sa chair.

Calmés, les hommes redeviennent sages,
Effrayés de leur inconscience.

 

Alors, repentants, ils ont signé,
Et ton grand-père est rentré de captivité.

 

J’avais 8 ans comme toi aujourd’hui.

Alors, deviens un homme bon et loyal
En te souvenant toujours de ces paroles !

 

Respecte la paix, ton pays, et surtout ta liberté !

Protège-toi, car si tu savais comme nous t’aimons !

 

Papa et maman

31 juillet

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